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Retour au roller

Retour au roller
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22 mars 2005

Les 3 pistes

Le week-end prochain, c'est Paques. Comme chaque année a lieu le trophée des 3 pistes : Samedi à Pibrac, Dimanche à Valence d'Agen et Lundi à Gujan Mestras.

On en parle sur plusieurs sites :
Documentation de FFRS : http://www.ffrs.asso.fr/CommitesNat/Course/Course_/fichiers/3%20Pistes%202005.PDF
Sur Roller en ligne : http://www.rollerenligne.com/fr/news.php?id=413&cat=3
Sur le site de la ville de Pibrac : http://www.pibrac.com/sport/3pistes/index.htm
Un article très léger sur sport-up : http://www.sport-up.fr/version2004/communique_presse/index.htm?NUM=913&DISCIPLINE=roller

Espérons que le temps sera de la partie. En général, il ne fait pas chaud à Paques et il faut souvent jongler avec les averses. Pour ma part, je ne prendrai pas le départ : d'une part, je n'envisage pas de participer à des courses sur piste, d'autre part, le niveau aux 3 pistes est hors de ma portée.

Je me rappelle ma seule participation à ce trophée. C'était, il y a bien longtemps, quelques jours avant mon entrée dans la vie active. Je suis resté sur le carreau lors de la course à Valence d'Agen. Mon premier employeur a du patienter quelques jours avant de me voir arriver avec un bras en écharpe.

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21 mars 2005

Port Lauragais

Superbe week-end avec un temps très enseillé et très doux pour la saison. C’était l’occasion rêvée pour rouler le long du canal du midi et pique-niquer à Port Lauragais.

J’ai chaussé les rollers à Castanet un peu avant 11h. Commencer plus près de Toulouse était difficile car le dimanche, il y a énormément de monde qui profite du beau temps. Le matin, on trouve surtout les sportifs du week-end qui font leur footing, pas mal de cyclistes et quelques rollers. En partant à Castanet, la piste était moins encombrée.

La météo avait prévu un petit vent d’Autan de 10 km/h. Cela permettait de faire l’allée sans trop galérer et de faire un retour cool. Je me suis vite aperçu que le vent soufflait plus que prévu. A mon retour, j’ai consulté les observations météo qui indiquaient en fait 20 km/hde vent.

Malgré cela, j’ai pu adopté un rythme régulier qui m’a permis de rejoindre Port Lauragais en 1h32. La majorité des tronçons étaient très agréable à rouler et je suis régalé. Un seul point noir : entre les écluses de Laval et Négra (je ne suis pas certains des noms) la piste est recouverte de graviers rendant le patinage à la limite du possible. Bref grosse galère pendant quelques kilomètres.

Après un repas cool au bord de l’eau et quelques moments de détente, j’ai pris le chemin du retour vers 14h45. Le retour avec vent de dos fut à nouveau un régal. Certes, plus j’avançait, plus il y avait de monde : les promeneurs du dimanche après-midi, beaucoup de piétons. En approchant, Castanet, il était de plus en plus dur de rouler à un bon ryhtme. D’autant plus que la fatigue se faisait sentir. J’ai tout de même pu boucler le retour en 1h13.

Bref, ce fut une super journée. Grâce aux médicaments, je n’ai quasiment pas souffert du dos et ce, malgré les 65 km parcourus au total.

19 mars 2005

Mal de dos (fin)

Le traitement a l'air efficace. La douleur est en forte diminution. J'ai pu passer une nuit bien reposante.

J'en ai profité pour reprendre l'entrainement : 14 km cool. Mon dos a bien supporté.

18 mars 2005

Mal de dos (suite)

J'ai consulté un médecin. Le diagnostique est incertain. Après quelques tests sur les vertèbres (la douleur se situe aux environs de L5 c'est à dire la dernière vertèbre lombaire), il apparait qu'il n'y a pas de déplacement de vertèbre.

Le médecin pense plûtot à un lumbago. Là où il a des doutes, c'est quand je lui dis que la nuit, dans le lit, aucune position ne soulage ma douleur. Je repars donc avec un traitement de choc de quelques jours : Anti-inflammatoire, décontractant et anti-douleur.

17 mars 2005

Mal de dos

Quel patineur n’a pas souffert un jour ou l’autre de mal de dos ? La position du patineur de vitesse sollicite énormément le dos et fatalement on en souffre.

En ce qui me concerne, la douleur n’est pas forcément liée à l’effort fourni. On peut dire que je souffre quasi quotidiennement du dos même lorsque je reste plusieurs jours sans m’entraîner. Certes, il y a des périodes où la douleur est « au repos », un peu comme un moteur qui tourne au ralenti. Dans ce cas, je l’oublie. A d’autres périodes, la douleur peut me réveiller le matin.

Samedi dernier, jour du grand fond, ça a été justement le cas : douleurs au réveil alors que je ne m’étais pas entraîné la veille et que la semaine avait été relativement calme. Lors de l’épreuve du grand fond, à partir de la moitié de la course, j’ai souffert énormément du dos jusqu’à songer à abandonner…mais j’ai tenu. Le soir, j’ai pris un anti-inflammatoire et la douleur étant redevenue supportable le lendemain, j’ai cru m’en tirer à bon compte.

Hier, j’ai fait 19 km en 42mn le long du canal. Au retour, avec le vent d’autant dans le dos, je me suis pas mal défoulé. Hélas, hier soir, la douleur est devenue plus vive.

Ce matin, c’est l’horreur : grosse douleur, difficulté à me pencher en avant. J’ai renoncé à l’entraînement pour aujourd’hui. Ce soir j’irai consulter.

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16 mars 2005

Grand fond : résultats

Pour ceux que ça intéresse, vous retrouverez tous les résultats officiels à cette adresse :
http://www.ffrs.asso.fr/CommitesNat/Course/Course_/resultats/fichiers/Grand%20Fond%202005.PDF

et quelques photos à cette adresse :
http://www.rollerenligne.com/dossiers/grand_fond_grenade_2005.htm

14 mars 2005

Grand fond : la course

Après un hiver froid et humide, on peut dire que le ciel nous était de notre coté pour ces championnats de France de grand fond 2005. En effet, nous avons eu la chance d’avoir un temps particulièrement ensoleillé avec très peu de vent ce qui donnait sur Samedi et Dimanche deux journées particulièrement agréables pour rouler.

C’est avec plus d’une demi heure de retard que la course de vétérans (Samedi AM) a débuté. La présentation sur la ligne de départ s’est faite dans l’ordre d’appel des concurrents, ordre établi par tirage au sort. Avec ma chance habituelle, j’ai cru au moment qu’on ne m’appellerait pas tant je fus appelé dans les derniers.

Après quelques rappels d’usage et consignes diverses, le départ a été donné dans le calme. J’ai pu me faufiler assez rapidement à une place raisonnable.

42 km, c’est long, il ne s’agissait pas de tout donner dans le premier des 8 tours prévus.

Très vite, un premier peloton s’est détaché devant, peloton composé de patineurs courant habituellement en équipe plus ou moins pro. J’ai pu me placer vers l’avant du deuxième peloton et à la fin du 2ème tour, j’avais réussi à maintenir ma position : la course s’annonçait sous un très bon jour.

Malheureusement, les choses allaient mal tourner rapidement. Le passage en ville allait m’être fatal. En effet, la route particulièrement défoncée à cet endroit m’a conduit à adopter un patinage très crispé et à la relance en sortie de virage (au niveau de la halle), une crampe m’a paralysé la jambe droite. Incapable de poser le pied au sol pendant quelques instants, j’ai dû lâcher le peloton et je me suis retrouvé seul. J’ai réussi à me décontracter suffisamment pour continuer la course, seul dans un premier temps, et à vitesse modéré car la crampe avait tendance à revenir lorsque l’effort était trop important.

J’ai fini par reprendre la roue d’un patineur qui m’avait rattrapé et dans son dos, j’ai pu récupérer et reprendre un rythme digne de ce nom.

A mi-course, ce fut le mal de dos qui manqua de me laisser sur place. Entre temps, j’avais repris une place dans un peloton et cela m’a permis de reprendre du courage : l’objectif était de terminer la course et je terminerai la course coûte que coûte.

Avec la fatigue, mon patinage est devenu très incertain. Au 7ème tour, après la montée, j’ai failli faire une chute fatale entraînant avec moi celui qui me suivait. Au moment de poser le pied au sol, j’ai eu l’impression de le poser dans du chewing-gum. J’ai été déséquilibré en avant, j’ai posé en catastrophe le deuxième pied devant, le premier est parti en arrière et je me suis rattrapé in extremis, je ne sais comment.

Bref, j’ai fini la course 40ème (sur 73) en 1h42mn. C’est une place honorable compte tenu des circonstances. Certes, j’ai pris un bon tour de retard sur le peloton de tête. Mais j’ai quand même prouvé que je pouvais reprendre la compétition sans être ridicule.

Je passe sur les problèmes d’organisation qui ont gêné au bon déroulement de la course, d’autres en parlent mieux que moi à cette adresse : http://www.rollerenligne.com/phpBB2/viewtopic.php?p=6514#6514

En conclusion : je suis globalement satisfait de cette course. Je suis également satisfait de mes roller car j’ai pu parcourir 42km (distance jamais réalisée depuis que j’ai repris le roller) sur un circuit en mauvais avec tout juste une petite ampoule à l’arrivée.

Le dimanche, je n'ai pas assisté aux épreuves des élites (70km), mais j'en ai profité pour me remettre en jambes en effectuant une douzaine de km dans mon lotissement : ça va, je ne suis pas trop cassé.

9 mars 2005

Championnats de France de grand fond

Le temps s'améliore. J'ai pu rouler un peu hier entre midi et deux sur le bord du canal. J'ai réussi à trouver un meilleur réglage de ma platine gauche. Cela m'a remonté un peu le moral.

Normalement, la météo annonce du beau temps pour Samedi. Je pense que je vais prendre le départ. Et puis, l'essentiel c'est de participer.

On parle du grand fond un peu partout sur les sites consacrés au roller :
- site du PUC : http://www.pucroller.com/article.php3?id_article=834
- site RoulezRose : http://www.roulezrose.com/phpBB/viewtopic.php?t=2449
- site Urban SHop : http://www.urban-shop.com/catalog/newsdesk_info.php/newsdesk_id/16?osCsid=3fd82979f2b4be7768adf502e821bc32
Sur ce dernier site, on trouve une vidéo montrant un repérage du circuit. Il s'agit de la grande boucle (11km) utilisée pour les épreuves du Dimanche (nationaux et élites).

6 mars 2005

Baisse de moral

L'hiver, le froid, la neige... Nous voici arrivé au mois de Mars et le temps glacial de l'hiver n'en finit pas. Les occasions de s'entrainer sont rares. La motivation manque aussi. Chaque sortie est une galère sans nom. Je me limite à de courtes distantes (entre 10 et 20 km) et je rentre fatigué, démoralisé. Le matin, dans la salle de bain, quand je me regarde dans la glace, j'ai l'impression d'avoir pris un sacré coup de vieux. Comme si cette année, l'hiver était entré jusqu'au fond de moi. Dehors, je sais que le printemps reviendra mais en moi, les années ne s'effaceront pas.

Les championnats de France de grand fond approchent. Je me demande vraiment ce que je vais y faire. Je me vois mal finir l'épreuve, même bon dernier. Si le temps continue à être aussi pourri, je ne vois pas qu'est ce que cette épreuve pourra m'apporter. Peut être ne prendrais-je pas le départ...

14 février 2005

Grand fond

Petite semaine d'entraînement : 2 x 23 km le long du canal. Pour le reste, vent et pluie étaient au sommaire de cette semaine.

J'en ai profité pour me rendre sur le circuit des championnats de France de Grand fond à Grenade sur Garonne.

Ceux-ci se dérouleront les 12 et 13 Mars prochains. L'épreuve des vétérans est prévue pour le samedi 12 à 15h45 : distance 42 km sur un circuit de 4.8km. L'épreuve des nationale homme est prévue le dimanche matin, les élites et les femmes l'après-midi. Tous les détails se trouvent à cette adresse : http://www.ffrs.asso.fr/CommitesNat/Course/Course_/fichiers/Grand%20Fond%202005.PDF

Je me suis donc rendu sur le circuit pour évaluer la situation (en moto vue la pluie). J'ai mesuré le circuit à 5 km et non 4.8 km. Il est constitué de longues lignes droites (la plus longue fait 1.8 km), de deux ronds points, d'une montée de 500m de long et une descente de 300m. L'état de la route est plutôt moyen : c'est à 90% de la départementale. Le passage en centre ville est une catastrophe. Nous devrons subir une ligne droite longue de 400m de route défoncée avec même un trou de plus de 50cm de diamètre. Cette rue se termine sur un virage en angle droit sur des pavés : on aura tout vu !

Voici la carte détaillée :

 

rouge : la route défoncée
orange : montée
vert : descente
rond bleu : ronds points
viseur bleu : pavés
Bien sur, à chaque passage de la Save, on a une petite montée pour franchir le pont.

De toute façon, je ne me fais pas d'illusions. Vu le temps pourri que nous avons cette année et vu qu'il reste moins d'un mois pour m'entraîner, je ne serai pas vraiment prêt pour aborder cette épreuve. Certes, j'y participerai de toute façon mais mon principal objectif sera avant tout de terminer la course.

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